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Improviser en musique est une compétence bien flippante surtout quand on débute. Peut-être avez-vous un évènement en vue où vous risquez bien d’avoir besoin d’improviser ? Ou peut-être voulez-vous juste repoussez vos limites habituelles en développant cette aptitude ? Voici trois astuces pour progresser. Soyez rassuré, vous n’aurez pas besoin d’être un Mozart pour y arriver.
Travaillez la Gamme Pentatonique
La gamme Pentatonique est une gamme majeure d’où l’on enlève les degrés IV et VII. Par exemple, quand on joue en Do, on enlève les notes Fa et Si. Cela donne Do Re Mi Sol La, cinq note. D’où le nom Pentatonique de la gamme. Cette gamme présente l’avantage de s’appliquer à la grande majorité des morceaux qui existent.
Prenez votre temps et n’ayez pas peur des silences
Peut-être avez-vous envie de faire comme cette virtuose du piano qui balance trois mille notes à la seconde. Je comprends bien cela. Mais il est mieux que vous y alliez mollo comme on dit. Si vous ne souhaitez pas envoyer une tonne de notes pas nécessairement rythmé, pour finalement aboutir à un brouillon public, préférez jouer lentement et utiliser des silences. Ne craignez pas que l’on interprète vos silences comme de l’hésitation ; contentez-vous juste de bien assumer la note suivante. Démarrez par des figures rythmiques simples. Soyez posé. Cela vous permettra de gagner en assurance. Savourez vos propres notes.
Travaillez vos intervalles favoris
L’autre chose très capitale c’est : les intervalles. Choisissez les intervalles que vous aimez bien et travaillez-les régulièrement. Si vous aimez les intervalles doux, vous pouvez opter pour les sixtes et neuvièmes. Pour la pratique, vous choisissez une gamme et vous la monter selon l’intervalle que vous avez choisi. Ce n’est pas si facile que ça se dit mais ça marche.
Quelles que soit les circonstances dans lesquelles vous jouez, apprenez à détacher vos yeux de votre instrument. Cela vous donnera un air plus professionnel au travail !